"Tête en l'air", Jacques Higelin, album Higelin à Mogador, hold tight, 1981
Paroles
Sur la terre des damnés, solitaire,
Étranger aux vérités premières énoncées par des cons,
J'avais touché le fond de la misère
Et je crie, et je pleure, et je ris au pied d'une fleur des champs,
Égaré, insouciant dans l'âme du printemps, c?ur battant,
Coeur serré par la colère, par l'éphémère beauté de la vie.
Étranger aux vérités premières énoncées par des cons,
J'avais touché le fond de la misère
Et je crie, et je pleure, et je ris au pied d'une fleur des champs,
Égaré, insouciant dans l'âme du printemps, c?ur battant,
Coeur serré par la colère, par l'éphémère beauté de la vie.
Sur la terre, face aux dieux, tête en l'air,
Amoureux d'une émotion légère comme un soleil radieux
Dans le ciel de ma fenêtre ouverte
Et je danse, et je lance un appel aux archanges de l'Amour.
Quelle chance un vautour, d'un coup d'aile d'un coup de bec
Me rend aveugle et sourd à la détresse,
À l'éphémère tristesse de la vie.
Amoureux d'une émotion légère comme un soleil radieux
Dans le ciel de ma fenêtre ouverte
Et je danse, et je lance un appel aux archanges de l'Amour.
Quelle chance un vautour, d'un coup d'aile d'un coup de bec
Me rend aveugle et sourd à la détresse,
À l'éphémère tristesse de la vie.
Sur la terre, face au ciel, tête en l'air, amoureux,
Y'a des allumettes au fond de tes yeux,
Des pianos à queue dans la boîte aux lettres,
Des pots de yaourt dans la vinaigrette
Et des oubliettes au fond de la cour...
Y'a des allumettes au fond de tes yeux,
Des pianos à queue dans la boîte aux lettres,
Des pots de yaourt dans la vinaigrette
Et des oubliettes au fond de la cour...
Comme un vol d'hirondelles échappé de la poubelle des cieux...
Paroliers : Jacques Higelin
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