lundi 24 septembre 2018

Expo à venir ... Fernando GALVEZ, LA NOUVELLE MANUFACTURE

Prochainement, à Saint-Martin de Valamas, en Ardèche, exposition "Peinture" de Fernando GALVEZ  à la NOUVELLE MANUFACTURE, le centre d'art contemporain dirigé par Juliette RAULT et Antoine ABEL. 

vernissage samedi 6 octobre à 18h
Exposition du 7 octobre au 4 novembre 2018





On peut suivre l’actualité de La Nouvelle Manufacture sur leur site ou leur page facebook
06 73 27 37 96

Fernando GALVEZ 



vendredi 21 septembre 2018

Fernando GALVEZ, vernissage galerie "Les Frangines" le 14 septembre 2018

Quelques photos du vernissage "Peintures de l'invisible" de Fernando GALVEZ, dans la galerie "Les Frangines", à l'angle de la rue des Arts et de la rue de Pomet, à Toulon.  L'exposition est visible jusqu'à la fin du mois de septembre ! 
C'est en 2016 que Davia et Lisa Fardelli ont ouvert la galerie "Les Frangines", dans la basse ville de Toulon.  Toutes deux diplômées des Beaux-Arts de Toulon, elles font vivre un espace hybride destiné à la création et à la diffusion des oeuvres d'artistes qu'elles invitent à exposer.  


Une belle mise en espace des peintures de Fernando GALVEZ, "peintures de l'invisible" et une installation en terre de Lisa Dora FARDELLI, "Charnier intestinal" (2009) dont les sphères entrent en résonance avec les figures géométriques que l'on retrouve dans certaines toiles.








Une vingtaine de  toiles de Fernando Galvez, des petits, moyens et grands formats sont exposés dans ce solo show sous le titre "Peintures de l'invisible", comme pour dire : la peinture se regarde, s'appréhende avec les yeux et pourtant elle n'est pas superficielle, elle se regarde avec les yeux et avec le coeur.  C'est la leçon du Renard au Petit Prince,  "l'essentiel est invisible pour les yeux, on ne voit bien qu'avec le coeur" (Antoine de Saint-Exupéry).   Invitation à prendre le temps de rencontrer une peinture comme on rencontre une personne. De fait, on ne voit jamais deux fois une peinture de la même manière, elle a l'art de se renouveler, de nous livrer peu à peu des détails, des aspects auxquels on n'avait pas encore été attentif et jusqu'alors invisibles.  D'autres fois, c'est la variation de l'éclairage qui révèle des transparences, des opacités, des brillances et des matités. Bref, une peinture, n'est "jamais ni tout à fait la même, ni tout à fait une autre" (Verlaine, "Mon rêve familier") et pourtant elle est.  Nous voyons toujours la même peinture, c'est bien un plan limité et dans ce plan, tout est inscrit, immobile, comme un temps figé, comme un temps fini. Pourtant nous n'en finirons pas de la regarder, nous n'en finirons pas de la creuser, nous n'en finirons pas d'y penser, elle ne finira pas de nous parler et de nous toucher, elle nous prendra profondément, différemment à chaque fois.  Finalement,  cette peinture  touche au même titre qu'un être est capable de toucher, elle existe, elle se montre quand on passe du  temps à la regarder, la regarder, regarder, regard, garder.  

Dans la surface des toiles peintes par Fernando Galvez, il y a tant de formes visibles, tant de couleurs, juxtaposées,  superposées, perceptibles en transparences, cachées par d'autres qui  les chevauchent, des reliefs et des entailles.  Il y en a tant qu'il est impossible de les analyser dans un regard.  Cette défaillance à comprendre immédiatement ce qui fait image, ce qui est visible,  permet de les percevoir comme un tout, une unité.  Dans la vie, dans la ville, partout, à tout moment, les perceptions visuelles affluent et sollicitent le regard, sans aucune logique, sans aucun rapport de continuité ni de sens.  Fernando Galvez transpose sur la toile cette saturation visuelle à la quelle le quotidien nous expose et qui finit par faire écran. Aujourd'hui il expose des surfaces saturées d'images contradictoires poussées jusqu'au point où le rendu peut,  soit faire perdre  conscience de la multitude d'images qui finissent par se fondre et s'absorber l'une l'autre, soit, éclater et crever le plan pour ouvrir sur l'espace.
Florence Laude

L'exposition  est accrochée chez "Les Frangines" jusqu'à la fin du mois de septembre.  Pour s'y rendre, c'est à l'angle de la rue Pomet et de la rue des Arts, àToulon.   Renseignements au 06 08 42 13 94 et sur la page FB :  https://www.facebook.com/LesFranginesetvous/

Photos du vernissage (suite):






crédit photo : Mireille







Sites de Fernando GALVEZ :  http://galvez.fernando.free.fr/
                                               
                                                  http://fernando.galvez.free.fr/


Article dans Var-matin, 18/09/2018 par Patricia Maes / sur la page FB de la Galerie "Les Frangines".

lundi 17 septembre 2018

"Nantes", Beirut

"Nantes", Beirut, album The Flying Club Cup, 2007


"Postcards from Italy", Beirut


"Postcards from Italy", Beirut, album Gulak Orkestar (2006), live 2015

"Happiness and joy", Troy Von Balthazar


Musique: Troy Von Balthazar, film d'animation Yannick Lecoeur. "Happiness and joy", album How to live on nothing sorti en septembre 2010.

samedi 8 septembre 2018

"Parce que", Daniel Darc, Bill Pritchard,


"Parce que", Daniel Darc, Bill Pritchard, album Parce Que, 1988  - Charles Aznavour

"Seras-tu encore là", Daniel Darc, Bill Pritchard


"Seras-tu encore là?", Daniel Darc, Bill Pritchard, album Parce-que, 1988

"Black is the color fo my true love's hair", Twillight singers


"Black is the color of my true love's hair", Twillight Singers,  album She loves you, 2003


"Black is the color of my true love's hair", Nina Simone


"Black is the color of my true love's hair", Nina Simone, 1959.  Nina Simone at Town Hall

Black is the color of my true love's hair
His face so soft and wondrous fair
The purest eyes
And strongest hands
I love the land on where he stands
I love the ground on where he stands

Black is the color of my true love's hair
Of my true love's hair
Of my true love's hair
[...]


This song was first heard in the US around 1915, and comes from a traditional scottish folk song. Should be about a girl waiting for her man to come back from the sea.  Read it there:  https://www.youtube.com/watch?v=BThH_-y3cb8

"Wayfaring stranger", Johnny Cash


Johnny Cash, "Wayfaring stranger", American III, Solitary man, 2000

I'm just a poor wayfaring stranger
Travelling through this world bellow
There is no sickness, no toil, nor danger
In that bright land to which I go

I'm going there to see my father
And all my loved ones who've gone on
I'm just going over Jordan
I'm just going over home

[...]

"Wayfaring stranger", Burl Ives


Burl Ives, "Wayfairing stranger", 1949, American spiritual (folk song)