« Je me pose tant de fois cette question à moi-même, pourquoi sommes-nous si peu, si brièvement avec ceux qui nous procurent bien-être et détente, repos de l’âme et plaisir de l’esprit ? Fine et pernicieuse contradiction, écume de malédiction plus grave peut-être. Il faudra nous rejoindre plus longuement à la rentrée. Cher Albert. Luttons pour vaincre ce sort que nous ne voulons pas. » -
René Char à Albert Camus, lettre du 12 juillet 1953
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