Voici, quelques lignes prélevées dans un entretien entre Florian Rodari et Alain Paire, publié sur son site et signifiant l'avis de Jean Planque sur le peintre:
" Ah, cher Hans Berger, que tout cela est beau et bon, et franc, et viril, et direct, et vrai et tout, et sain, et combien on est bien à regarder tout cela". Autodidacte, Berger s’est mis à peindre assez tardivement, après avoir obtenu à Genève un diplôme d’architecture. En 1907 il décide de se consacrer entièrement à la peinture. Un premier séjour en Bretagne lui permet de se familiariser avec l’école de Pont-Aven, puis il découvre la Provence subissant le choc de ses couleurs. En 1911, une première exposition à Genève soulève de vives critiques. Sa peinture sera cependant soutenue par plusieurs grands collectionneurs de Suisse allemande. En 1924, il s’installe, dans un village de la campagne genevoise qu’il ne quittera guère jusqu’à sa mort en 1977.( la suite de l'article, qui est un entretien entre Alain Paire et Florian Rodari, est à lire ici)
Hans Berger (1882-1977)
Du 28 mars au 6 septembre 2015
Chapelle des Pénitents blancs (haut de la rue du maréchal Joffre) à 2 minutes du musée Granet.
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