samedi 16 novembre 2013

Victoria, installation pour Papiers et Libertés au musée Arteum dans le cadre de Paper Art, proposé par le Gudgi


Il y a quelques semaines, j'exposais au musée Arteum de Châteauneuf-le-Rouge une installation sur le thème Papiers et Libertés. J'étais invitée par le Gudgi ( association des galeries aixoises) qui, tout au long de l'année 2013 a initié des expositions autour du papier : Paper Art MP2013.
Gérard Berne, arpenteur photographe, c'est ainsi qu'il se définit, a photographié les oeuvres de tous les artistes.  Je montre ici un petit film des photos qu'il a prises de l'installation "Victoria". Mon parti pris était le papier en tant que page de livre, d'où la mise en relation entre le texte et l'image (ou illustration) déployée dans l'espace. L'idée de liberté comprise dans ce moment où le personnage est au bord de la confrontation entre son rêve et la réalité. Rêve partagé par beaucoup de personnes qui fuyant une situation difficile, envisagent l'exil, le passage une terre à une autre ...


3 commentaires:

pierre vallauri a dit…

Très beau travail . Offrir à Florence (la forcer au début de ce projet "papiers et libertés" pour qu'elle y participe)cette pièce oblongue du Musée ARTEUM,qui mettait si bien en valeur son travail de découpe et d'ombres portées, avec le texte en regard,(qui va s'étoffer je crois savoir) fut un bonheur qu'en tant que commissaire de ce volet de Paper'Art project je ne regrette pas.
Seul note triste est que cette installation ne soit pas là en permanence car difficilement montrable ailleurs. Bravo aussi à notre art'penteur photographe en la personne de G. berne qui a su admirablement nous monter cette œuvre sous toutes ses facettes et même d'un point de vue où le spectateur était censé ne pas accéder.

pierre vallauri a dit…

A la place de "où" veuillez lire "auquel" . (Dernière phrase). C'est mieux!

Monike a dit…

Poésie fragile de la lumière. Force de la découpe dans le papier. Liberté des cheveux dénoués dans le vent. Quelle histoire ? C'est la délicatesse de l'instant où les mots laissent encore toute la place aux images... puis courent en phrases.... échappées belles pour notre curiosité. C'est la magie d"un partage, la joie d'être présente. Merci Florence. Amitiés. Monike