lundi 13 mai 2013

c'était ce soir, le 13 mai, vernissage à la galerie Patrick Bartoli

Ce soir, à partir de 18h, c'était l'occasion de se joindre aux 13 artistes de l'exposition "13 passeurs d'émotions", invités par le galeriste Patrick Bartoli :  Olivier Bernex, Robert Blanc, Jean-Jacques Ceccarelli, Nisou Costa, Yvan Daumas, Georges Guye, Claude Langlois, Françoise Martinelli, Alain Puech, Jean-Paul Portes, Jean-Jacques Surian, Pascal Verbena et Jean-Marie Zazzi.  
L'exposition se tient  du 6 au 31 mai 2013, rue Sainte, à Marseille.   On voit ici une oeuvre collective, un jeu de l'oie, un cadavre exquis, ou toute autre forme de cheminement artistique (on l'appellera comme on voudra)  composée à partir de morceaux choisis de dessins des artistes. 
 Les dessins de Claude Langlois
Pascal Verbena a eu l'idée de cette exposition collective, alternative aux nombreux événements  de MP2013.  
Robert Blanc
 "Les Suédoises" de Georges Guye interpellent les spectateurs.
En (bonne) compagnie d'Alain Puech...


Une oeuvre de Pascal Verbena

Georges Guye

Françoise Martinelli

Peinture de Nisou Costa à Gauche, et au fond une d'Yvan Daumas

Olivier Bernex

Jean-Jacques Ceccarelli


Alain Puech

Jean-Jacques Surian
Tous les renseignements sur l'exposition sur le site de la galerie: 
 

2 commentaires:

alain paire a dit…

Savoureux, bien varié et très vif, merci vraiment Florence pour ton reportage du vernissage de la rue Sainte.

Tu avives mes regrets, je n'ai pas pu m'y rendre, mais grâce à tes images j'ai un tout petit peu l'impression d'avoir vécu ces moments.

Très beau, le jeu de l'oie collectif de tous les artistes ! Et puis le nouveau look, la branchitude calculée de l'homme de la rue des Tyrans, Pascal Verbena, çà c'est inoubliable !

A la fin de ton reportage, j'aime bien apercevoir Marie Ducaté, Jeanne Deste et Jean-Pierre Enoc.

pierre vallauri a dit…

Oui, une ambiance amicale et sympathique (ce mot fait mouche la plupart du temps pour résumer des faits , des initiatives, des expositions conviviales.)Une abondance d'artistes aux visages souriants et d’œuvres tout aussi enjouées.
Le jeu de l'oie est en effet une bonne idée presque surréaliste tant il est difficile de faire se rencontrer des artistes de cette envergure sur un même support. Quand aux lunettes noires de Verbena, c'est m'a-il dit parce qu'il avait mal aux yeux... Mon œil!Alain a bien raison!