Jacques PREVERT, Un insoumis, film de Camille Clavel

Jacques PREVERT, "Un insoumis", un film de Camille CLAVEL (2008).  Avec les interviews de Dan FRANCK, André POZNER, Jean-Paul LIEGEOIS, SINE, André HEINRICH et Bertrand TAVERNIER. (50 minutes)

Quelques chansons interpreétées par Juliette GRECO, Fred NEVCHE et Yves MONTAND  

Le recueil Paroles, de Jacques PREVERT est publié par René Bertelé,  le 10 mai 1946 aux Editions le Point du jour.

Fred NEVCHEHIRLIAN, Le Soleil brille pour tout le monde ?  fragment du poème de PREVERT,  "Tentative de description d'un dîner de têtes", (2011)

On peut retrouver l'intégralité de  projet très réussi de  NEVCHE,  mettre en musique des poèmes de PERVERT, en suivant ce lien:

https://www.youtube.com/watch?v=DImTpiQrSx8

Inventaire (1) Ce qui reste

Wait for morning, Jim Morrison, 1970

"Wait for morning", poetry album from Jim Morrison, Village Recorders, 1970  (

Winter photography
 Our love's in Joepardy
 Sit up all night
 Talking smoking
 Sit up all night smoking
Count the dead
And wait for morning
[...]


Music Ludovico Einaudi
Piano

http://mildequator.com/recordinghistory/poetry.html

Orange county suite, THE DOORS, L.A. Woman

"Orange county suite", album L.A. Woman, The Doors, 1971

MARQUIS DE SADE au Théâtre de l'Empire (1979)

"The Crowd", Lionel GABEL

"The Crowd", Lionel GABEL 

https://soundcloud.com/lionel-gabel/the-crowd

"Change", Lionel GABEL sur Soundcloud

"Change", Lionel GABEL

https://soundcloud.com/lionel-gabel/tracks

Blue roses, Joséphine Foster

"Blue roses", album I'm a dreamer, 2013

Bleu Rose

Le cageot

Le cageot

     A mi chemin de la cage au cachot la langue française a cageot, simple caissette à claire-voie, vouée au transport de ces fruits qui de la moindre suffocation font à coup sûr une maladie.

       Agencé de façon qu'au terme de son usage il puisse être brisé sans effort, il ne sert pas deux fois. Ainsi dure-t-il moins encore que les denrées fondantes ou nuageuess qu'il enferme.
       A tous les coins de rues qui avoutissent aux halles, il luit alors de l'éclat sans vanité du bois blanc.  Tout neuf encore, et légèrement ahuri d'être dans une pose maladroite à la voirie jeté sans retour, cet objet est en somme des plus sympathique - sur le sort duquel il convient toutefois de ne s'appesantir longuement.

Francis PONGE, Le parti pris des choses, 1942