Oui, il me semble que tu nous donnes avec ton image de la grâce et de la nature, perception de l'automne qui vient doucement. Nous vivons en ce moment dans le Sud, et c'est évidemment fabuleux, l'été indien.
Mais en regardant tout cet enchevêtrement de signes qui habite ta photographie, je pense curieusement aux noirs et blancs de cet immense dessinateur qu'est Louis Pons, tu sais que je viens de voir son exposition à Rodez.
Dans les dessins de Pons, il y a toutes sortes d'intrications, plein de ramifications. Il dit quelque part qu'il n'y a pas de centre : les centres dés qu'on y songe, dés qu'on essaie de les cadrer c'est impossible, ils surgissent par dizaines.
en marchant sur le sentier, la formule - lyrisme naturel - me parlait, elle aurait bien exprimé aussi ces couleurs qui claquent et qui en jettent à l'automne.
Mais, ici, avec cette photo, je voulais suggérer exactement ce que tu écris: une absence de centre, une absence de composition traversée par des lignes-tiges-exubérantes.
Je joins un lien vers le musée Fenaille à Rodez, une exposition de louis Pons jusqu'au 30 Octobre : http://louispons.musee-fenaille.fr/
Je crois qu'il y a aussi un article sur ton site: http://www.galerie-alain-paire.com/index.php?option=com_content&view=article&id=143:a-rodez-les-dessins-de-louis-pons-jusquau-30-octobre&catid=7:choses-lues-choses-vues&Itemid=6
c'est à voir, à entendre et à lire ! Louis Pons est vraiment un TRES grand dessinateur !
2 commentaires:
Oui, il me semble que tu nous donnes avec ton image de la grâce et de la nature, perception de l'automne qui vient doucement. Nous vivons en ce moment dans le Sud, et c'est évidemment fabuleux, l'été indien.
Mais en regardant tout cet enchevêtrement de signes qui habite ta photographie, je pense curieusement aux noirs et blancs de cet immense dessinateur qu'est Louis Pons, tu sais que je viens de voir son exposition à Rodez.
Dans les dessins de Pons, il y a toutes sortes d'intrications, plein de ramifications. Il dit quelque part qu'il n'y a pas de centre : les centres dés qu'on y songe, dés qu'on essaie de les cadrer c'est impossible, ils surgissent par dizaines.
Merci pour ton message, Alain,
en marchant sur le sentier, la formule - lyrisme naturel - me parlait, elle aurait bien exprimé aussi ces couleurs qui claquent et qui en jettent à l'automne.
Mais, ici, avec cette photo, je voulais suggérer exactement ce que tu écris: une absence de centre, une absence de composition traversée par des lignes-tiges-exubérantes.
Je joins un lien vers le musée Fenaille à Rodez, une exposition de louis Pons jusqu'au 30 Octobre :
http://louispons.musee-fenaille.fr/
Je crois qu'il y a aussi un article sur ton site:
http://www.galerie-alain-paire.com/index.php?option=com_content&view=article&id=143:a-rodez-les-dessins-de-louis-pons-jusquau-30-octobre&catid=7:choses-lues-choses-vues&Itemid=6
c'est à voir, à entendre et à lire !
Louis Pons est vraiment un TRES grand dessinateur !
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