mercredi 24 octobre 2018

PRATIQUES DU PAYSAGE, Raymond GALLE, 200rd10, vernissage samedi 27 octobre

Exposition du travail de Raymond GALLE  du samedi 27 au mardi 30 octobre au  Lieu d'Art Contemporain Les Lamberts, 200rd10  à Vauvenargues.  Après Alain GOETSCHY  et Georges GUYE,  Raymond GALLE présente les oeuvres réalisées autour de la problématique PRATIQUES DU PAYSAGE.


Vernissage samedi 27 octobre 2018
à partir de 15h 

Les Lamberts
200rd10
13126 VAUVENARGUES

tél: 04 42 24 98 63
200rd10@gmail.com


Raymond GALLE  écrit: "Le Salin de Giraud vu depuis la galaxie d'Andromède.
Le vaisseau spatial d'où je vous parle est positionné quelque part sur Andromède, une galaxie encore appelée M31. Elle contient environ 1000 milliards d'étoiles et son centre renferme un trou noir d'une centaine de millions de masses solaires.  Elle est plus grande que la Voie Lactée, quant à son disque galactique il est tout simplement tordu [...]
Quant à moi, ma mission est d'imager la connaissance à partir de l'observation. Cela fait des siècles qu'artistes et scientifiques établissent ensemble les tableaux du monde selon les principes de la tradition occidentale. Tel un théâtre ouvert à la contemplation commune nous unissons le voir et le connaître, la science et l'observation, la recherche et la compréhension.
Eux et nous savons qu'aucune science ne peut décrire ce dont elle parle par le seul pouvoir des mots, cela exige de montrer les choses. [...]"

Raymond GALLE vous invite à voir ...

lundi 22 octobre 2018

vernissage PRATIQUES DU PAYSAGE, Georges GUYE

Du samedi 20 au mardi 23 octobre 2018, deuxième volet de l'exposition PRATIQUES DU PAYSAGE présentant les oeuvres de Georges GUYE, .  L'exposition est visible aux Lamberts, 200rd10, à Vauvenargues.   Le week-end prochain, exposition du travail de Raymond GALLE.


En entrant, sur le mur de gauche, on est attiré par ce petit format qui semble un peu en coin, un rectangle pas tout à fait régulier ... on se penche pour voir de plus près. Grand sourire, c'est tout Georges Guye en une oeuvre !  Une mer vue à travers la fenêtre de la voiture que l'on s'est empressé de baisser pour attraper, en plus de la vue, l'odeur de l'iode :"Vue de Carry-le-Rouet".  La sculpture est un objet et une "vision".  Liée au vécu de l'artiste, elle recompose en une image, une aventure humaine, livre un regard tout subjectif sur le monde qui l'entoure. La nature est à portée de vue, c'est dire l'importance du regard qui délimite un cadre, qui donne, non pas Le paysage, mais un point de vue sur le paysage.   Le paysage selon Georges Guye, c'est une aventure très humaine ... 


 La grande salle du rez-de-chaussée est un hommage à la grande bleue ... mers et oursins à Carry-le-Rouet.


Sur le mur de gauche, le rectangle de résine, de teintes gris-bleu est parcouru de plis orientés comme des vaguelettes, on y devine les ondes de l'eau de mer qui se déplacent en faisant des rides.  Placé à hauteur de regard c'est un tableau en relief, ce n'est pas la mer, mais mon regard peut s'y perdre. Dès que je fais un pas en arrière, j'aperçois à nouveau sa forme délimitée et le cadre qu'il dessine sur le mur blanc.  J'ai conscience de cet improbable renversement, la  mise à la verticale de ce qui dans la réalité est un plan horizontal, une ligne de fuite portant mon regard vers l'horizon. L'oeuvre plastique est intéressante par sa verticalité, sa frontalité qui la met à l'écart de la réalité.  C'est tout le propos de l'oeuvre d'art que d'être artificielle et non imitation, tout en restant suggestive.
L'effet est autre encore avec la pièce de résine  d'un bleu soutenu, un carré presque parfait, placée sur le mur opposé.  Ce qui m'étonne dans cette sculpture, c'est que la qualité du bleu choisi n'est absolument pas "réaliste", mais qu'il a le pouvoir d'évoquer une belle journée de plein soleil. Cette "Mer" là, c'est le soleil et la plage, c'est d'ailleurs au  pied de cette sculpture murale que Georges Guye a déposé une autre sculpture basse, un périmètre de sable avec serviette jaune (tiens, encore la référence au soleil) et sandales méduse.  Cette installation ( rapprochement de deux oeuvres) devient narrative, on est tenté de compléter le scénario en donnant du sens aux traces dans le sable et à l'absence de sujet.  Tout bon roman, comme tout bon scénario comporte au moins un personnage.  L'absence de personnage dans cette scène (ou plutôt sa présence en creux, l'empreinte de ses pieds et objets personnels) s'incitent à dérouler la scène dans le temps.  Le temps, une autre donnée essentielle du récit.



"Mer" en résine et bord de plage avec empreintes, serviette et sandales méduse 



Le troisième ensemble sculpté présent dans cette salle du rez-de-chaussée, "Oursins à Carry-le-Rouet", fonctionne également comme un strip BD, en trois vignettes, l'espacement entre les scènes vaut comme ellipse narrative. C'est un souvenir personnel du sculpteur qui est le point de départ du motif, mais c'est la transposition, la recréation qui est l'enjeu de la sculpture.  Le point de vue artificiel fait tout l'intérêt de la scène, il n'a rien de naturel, mais il est éminemment cinématographique, jouant sur la plongée, les zooms et le cadrage.  L'artiste s'attache à représenter son ressenti du monde, en le recréant.  

 "
"Oursinade à Carry-le-Rouet"





Le premier étage est la salle des plâtres blancs




"Attention falaise, fragile, danger"


Ce paysage est inspiré par une randonnée entre Luynes et Gardanne, sur un site nommé "Le mur de Gueydan". Le panneau "Falaise, fragile, danger" s'adresse au spectateur. La scène recrée l'impression de vertige, au bord du précipice.  L'interruption franche du haut relief dans sa partie inférieure, fait que le paysage se dérobe, le regard tombe littéralement dans le vide.  Heureusement (semble-t-il), la barrière est là pour assurer la sécurité du spectateur (comme du promeneur) et rassurer.  Mais ... en réalité, elle crée surtout  un obstacle à la perception de l'oeuvre.  Idem la présence du panneau qui attire l'attention.  Quelque part, on dirait que tout est fait (par le sculpteur) pour détourner le spectateur de la contemplation du paysage, barrière et panneau de signalisation font obstacle, parasitent le regard.  On est littéralement empêché de regarder le paysage, c'est du sabotage organisé! 
 Couac orchestré, bien sûr, qui pose encore la question du paysage. Qu'est-ce que l'on appelle paysage si ce n'est un espace modelé, organisé et commenté par l'homme ?   Sur un sentier de randonné, le paysage est souvent signalé comme paysage, il se donne à voir, il se dit paysage au moyen de toute une signalétique que Georges Guye se plait à mettre au premier plan et à rendre envahissante.  Dans l'oeuvre de Georges Guye, nous percevons immédiatement ce qui nous échappe parfois in situ, le regard ayant la capacité de "faire le tri", de se focaliser sur un point du paysage. Dans cette sculpture, le paysage naturel, relégué au second plan est pourtant un petit chef-d'oeuvre.
Il faut se retourner pour contempler, sur le mur opposé, une ligne pure de paysage en contre-plongée, donnant comme vue "Le dessous du paysage", pour comprendre toute la malice de l'oeuvre, mais aussi toute sa beauté plastique. 

Comme je l'écrivais au début de l'article, les paysages de Georges Guye montrent la relation que l'homme entretient avec la nature et la nature entretenue par l'homme.  Bien souvent d'ailleurs, l'humain figure au premier plan. Présence d'un avant bras,  d'un pied, d'une main tenant un bâton, d'une barrière...  Le regard ensuite découpe une portion de paysage dont il fait émerger quelques éléments qu'il traite et analyse, comme pour les reconnaître et les assimiler.  Même le regard semble transfigurer la nature et déjà l'assujettir.



"Paysage en contre plongée" qui s'étire traçant une ligne d'horizon


"Paysage avant l'orage" 


"Calanque II"

On est aux antipodes du paysage proposé par Alain Goetschy, dans le même lieu, la semaine précédente.  Pour rappel, un lien pour retrouver les photos de l'expo d'Alain Goetschy.  Le 27 octobre, ce sera au tour de Raymond Galle d'exposer son travail sur  le paysage.  J'y reviendrai.


Au deuxième étage, on entre dans les paysages liés à des visions mythologiques, des ensembles d'arbres  pris dans la tourmente du vent, complètent l'ensemble des figures. On est saisi parla force des images  et le souffle qui parcourt les arbres.


"La métamorphose d'Actéon en cerf"
Actéon est le fils de d'Aristée (lui-même fils d'Apollon) et de la fille de Cadmos, Autonoé. Il est élevé par le Centaure Chiron auprès duquel il devient un chasseur très habile.  Un jour, lors d'une chasse, il surprit la déesse Artémis et ses compagnes au bain.  Furieuse de paraître nue devant un mortel, elle le transforme en cerf. Il est alors dévoré par ses chiens. Dans cette version que nous livre Georges Guye, la sculpture fait pendant au tableau peint. Elle semble littéralement sortir du tableau et jaillir au premier plan.  



Penthée et Agavé et la dépouille de Penthée (tableau au mur) et au devant, des Baccantes brandissant les dépouilles de Penthée. L'histoire de Penthée fournit le sujet de la tragédie d'Euripide, Les Baccantes. Penthée était le roi de Thèbes avant Cadmos  (Cadmos qui donne la lignée des Labdacides, dont sont issus Laïos et Oedipe).  Il s'opposa à l'introduction des cultes dionysiaques dans son royaume.  Alors qu'il était caché au creux d'un arbre sur le mont Cithéron pour observer les bacchanales, il est surpris et mis en pièces par les Ménades (ce sont les fidèles de Dionysos, représentées comme des furies délirantes et possédées, qui personnifient les esprits orgiaques de la nature). Parmi les Ménades qui le mettent en pièces, figurent sa propre mère Agavé, fille de Cadmos et d'Harmonie et ses tantes, Ino et Autonoé.



Dionysos et deux Ménades

Le projet des trois expositions PRATIQUES DU PAYSAGE, est conçu comme un triptyque permettant de faire dialoguer trois démarches d'artistes, Alain GOETSCHY, Georges GUYE et Raymond GALLE, qui se connaissent par ailleurs très bien. 
Les Lamberts est un lieu d'exposition d'arts contemporains privilégiant les pratiques qui interrogent et rendent compte du paysage.  Cette exposition est à visiter du 20 au 23 octobre inclus, de 15h à 19h.

200rd10
Les Lamberts
13126 Vauvenargues

04 42 24 98 63
200rd10@gmail.fr



jeudi 18 octobre 2018

PRATIQUES DU PAYSAGE, Georges GUYE, 200rd10, Vauvenargues

SCULPTURES  &  INSTALLATIONS

Vernissage de l'exposition samedi 20 octobre de 15h à 19h 
exposition du 20 au 23 octobre


 Le projet est conçu comme un triptyque permettant de faire  dialoguer (plutôt que se confronter) trois démarches  d'artistes qui se connaissent par ailleurs très bien.  
Les Lamberts est un lieu d'exposition d'arts contemporains privilégiant les pratiques  sur le paysage et,  particulièrement, le paysage naturel.  Cette exposition qui s'inscrit dans le temps ( autre donnée importante du rapport à la nature)  montre les oeuvres des trois artistes à tour de rôle, pendant trois semaines. Après qu'Alain GOETSCHY a ouvert le dialogue, c'est le sculpteur  Georges GUYE qui exposera du samedi 20 octobre au mardi 23 octobre, puis le plasticien  Raymond GALLE, du samedi 27 au mardi 30 octobre 2018.


200rd10 les Lamberts
13126 Vauvenargues

04 42 24 98 63
200rd10@gmail.fr


Pour voir des photos du travail d'Alain GOETSCHY exposé du 13 au 16 octobre: https://imagesentete.blogspot.com/2018/10/pratiques-du-paysage-alain-goetschy.html

PRATIQUES DU PAYSAGE, Alain GOETSCHY - 200rd10 Les Lamberts

Du 13 au 16 octobre dernier, Alain GOETSCHY exposait des peintures, des pastels et des photos aux Lamberts  (200rd10 à Vauvenargues) dans le cadre du projet PRATIQUES DU PAYSAGE.  Le projet conçu comme un triptyque fait dialoguer (plutôt que se confronter) trois démarches  d'artistes qui se connaissent par ailleurs très bien.  
Les Lamberts est un lieu d'exposition d'arts contemporains privilégiant les pratiques  sur le paysage et,  particulièrement, le paysage naturel.  Cette exposition qui s'inscrit dans le temps ( autre donnée importante du rapport à la nature)  montre les oeuvres des trois artistes à tour de rôle, pendant trois semaines. Après qu'Alain GOETSCHY a ouvert le dialogue, c'est le sculpteur  Georges GUYE qui exposera du samedi 20 octobre au mardi 23 octobre, puis le plasticien  Raymond GALLE, du samedi 27 au mardi 30 octobre 2018.
Quelques photos de l'exposition donnent un aperçu du projet d'Alain GOETSCHY.



 Alain GOETSCHY  s'exprime ici par la peinture, les pastels et la photo.  J'ai principalement retenu ses oeuvres mettant en parallèle la vague des paysages de mer  et les cimes ou crêtes rocheuses de montagnes.  Le rapprochement fascine car on ne sait en définitive ce que l'on regarde. L'image fixe est de toutes les façons un mouvement figé, la représentation  d'une interprétation ressentie du paysage qui permet de confondre l'un et l'autre.  On se rappelle le célèbre tableau de Caspar David Friedrich, "Voyageur contemplant une mer de nuage" (Der wanderer über dem nebelmeer, 1818) dont le titre même retient la confusion possible et le vertige du paysage, sensible dans le tableau.  C'est qu'Alain GOETSCHY  songe aussi à un temps vertigineux,  un temps que l'on ne peut atteindre qu'en pensée mais que l'on croit parfois entrapercevoir dans le paysage.  Il songe au temps du fond des âges, dont il doit bien rester une empreinte quelque part dans le paysage que nous regardons aujourd'hui, celui d'avant l'apparition de l'Homme.  Pour cela, ses paysages sont désertés par la présence humaine. C'est une différence avec le tableau de Friedrich, Alain GOESTSCHY efface jusqu'à la présence du regard et par la même de l'artiste.  Le paysage semble exister en lui-même et uniquement de lui-même. Ce biais s'accorde avec la représentation figurative et réaliste du paysage,  hormis sa transposition en noir et blanc qui souligne un parti pris, un projet.    Est-ce  une projection futuriste de l'après humanité ? Est-ce rappeler  à l'Homme qu'il n'est qu'un grain de sable dans l'éternité ? Un grain de sable dont le monde se moque bien de savoir s'il existe ou non.  Le "THIS" en lettre d'or qui surplombe le paysage semble littéralement honorer (valoriser) la chose matérielle et non à l'être. 


D'une autre manière, l'image de la vague d'eau et la crête de granit peuvent se confondent dans une temporalité qui n'est pas à notre échelle. Du point de vue de  la perception du paysage à notre échelle spatio-temporelle, la vague avance, mouvante et fluide et la montagne est de marbre, immobile, mais dans d'autres rapports  de perceptions temps/espaces, ne pourrait-on appréhender  la vague de mer immobile et la montagne en mouvement ?  C'est ce que semble questionner  le travail d'Alain GOETSCHY  en traitant l''une et l'autre comme des images qui peuvent nous leurrer et confondre nos perceptions visuelles et cognitives.







Pour continuer la découverte du travail d'Alain GOETSCHY, on peut se rendre sur son site.


Pour la suite de l'exposition PRATIQUES DU PAYSAGE, rendez-vous est pris samedi 20 octobre pour le vernissage de l'exposition de Georges GUYE (15h 19h) et jusqu'au 23 octobre, et le samedi 27 octobre de 15h à 19h  pour le vernissage de l'exposition de Raymond GALLE (jusqu'au 30 octobre). 



PRATIQUES DU PAYSAGE
Les Lamberts
200rd10 (route de Vauvenargues)

tel: 04 42 24 98 63
200rd10@gmail.com


lundi 8 octobre 2018

Fernando GALVEZ le vernissage de l'exposition "Peinture" à La Nouvelle Manufacture

Retour en images sur le vernissage de l'exposition "Peinture", de Fernando GALVEZ à Saint-Martin-de-Valamas, en Ardèche.  La grande salle de la galerie la Nouvelle Manufacture permet l'accrochage  de grands formats (185 x 200  et 200 x 200) et une belle mise en espace des toiles. Pour le peintre, le vernissage a été l'occasion de montrer son travail à un public nombreux, très attentif et touché par la présence sensible de ses oeuvres.  Des fidèles des événements programmés par l'association, mais aussi des personnes venues  de départements plus lointains ont donné à la  soirée une atmosphère très conviviale et très touchante. Une exposition et de belles rencontres. 



Très chaleureusement accueilli par Antoine ABEL (à droite sur la photo) et Juliette RAULT, directeurs de l'association, Fernando GALVEZ  a longuement échangé avec le public autour de sa démarche de peintre.  
Ouverte depuis plus de quatre ans, La Nouvelle Manufacture est un centre d'art contemporain dynamique, impliqué dans la valorisation économique du territoire ardéchois, au travers d'actions culturelles impliquant des acteurs locaux et extérieurs. Elle expose des artistes très différents, propose des résidences et est vraiment respectueuse du travail et des personnes qu'elle reçoit. Depuis sa création, le projet ne cesse de se développer et de rayonner localement et au delà des limites régionales.  Cela est dû à la personnalité et à l'engagement des fondateurs, Antoine ABEL et Juliette RAULT, aux liens qu'ils ont avec des artistes extérieurs, mais aussi à la qualité du projet lui-même qui inscrit l'art contemporain dans un échange humain qui ne se réduit pas un regard de passage. Si on le veut, on peut fréquenter le café culturel (voir sa programmation en fin d'article). Je vous conseille vivement la découverte du lieu.


Fernando Galvez privilégie les grandes toiles, le carré presque parfait. La surface peinte est comme un épiderme où tout se voit,  affleure dans les plis, les reliefs de la trame, la transparence des couleurs. La toile est un plan fini, limité comme la durée de la vie, dans lequel tout est inscrit. Ce qui a été posé par le peintre est visible dans un jeu de superpositions, un chaos de formes et de couleurs accumulées, mené jusqu’au point d’équilibre où tout tient dans un rapport tendu et s’immobilise. 


Je reviendrai plus tard pour ajouter du texte, mais pour l'heure, place aux peintures, à travers les images.














La programmation du café culturel pour les mois d'octobre, novembre et décembre:







L'exposition est à visiter jusqu'au 4 novembre 2018

350 Rue du Garail
07310 Saint-Martin-de-Valamas
06 73 27 37 96



itinéraire à consulter  ICI 

Il faut signaler qu'ils sont partenaires d'un parcours artistique à ciel ouvert  (oeuvres in situ), dans les monts d'Ardèche, LE PARTAGE DES EAUX.  Pour avoir des informations sur ce projet voir:  www.lepartagedeseaux.fr


Fernando GALVEZ
 vit et travaille à Toulon.