le blog de florence laude "L'artiste nous prête ses yeux pour contempler le monde" Arthur Schopenhauer
lundi 1 août 2011
osez joséphine
Frissons sur une chanson d'Alain Bashung...
Paroles de Jean Fauque (1991) et clip réalisé par Jean-Baptiste Mondino.
C'est un article trouvé sur le site du journal Le Monde du 20 juillet citant un chroniqueur de France Info, Bertrand Dicale, "pourquoi Alain Bashung a tout changé dans la chanson française" qui me donne envie de publier le clip. On y apprend ainsi qu'en 1991, avec cette chanson, Bashung ose le premier tube sans refrain chanté. En effet, la mélodie de la chanson est donnée par la ligne instrumentale et non par la voix ... une première dans la chanson française.
On peut retrouver l'article du journal Le Monde, ICI, si mes explications ne sont pas explicites...
L'autre raison de cette publication tient aussi à mes lectures actuelles de romans de Jim Harrison (dont je parlerai à l'occasion) , dans lesquelles, les chevaux et le plaisir, mais aussi la Nature (du Michigan au Nebraska ....) et l'histoire américaine font bon ménage... Moins rock n' roll que Bashung et définitivement plus country, Jim Harrison fait plutôt écouter Pasty Cline à ses personnages... Vous connaissez, Patsy Cline?
Patsy Cline à écouter ici, dans la chanson Crazy (1961)
Si ce rapprochement d'Alain Bashung et Jim Harrison semblera hasardeux à certains, il faudra chercher au delà de la ligne esthétique la fougue d'une énergie sexuelle, vitale et créatrice canalisée dans les modulations des guitares électriques et du galop contenu du cheval blanc. Et que ne durent que les moments doux(...) durs les moments doux(...) osez. (libre reprise des paroles !)
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